
Inspiré de la peinture Autoportrait avec sa mère, de Jacques Stella (vers 1635) – Musée Georges de la Tour, Vic-sur-Seille.
Beau regard de sa mère, tourné vers nous. D’après la chronique, elle vient de retrouver son fils en retour d’un séjour en Italie.

En marge de me séries gravées, le dessin est un moment de respiration spontané, sous l’impulsion d’un trait d’encre, parfois rehaussé de collages.
Je vous ouvre ici ces carnets de dessin, rarement exposés. Du fait de leur format, je le appelle mes “portraits verticaux“. Ils sont inspirés de visages d’hommes et femmes demeurés anonymes, dont des documents d’archives, vieilles cartes postales ou albums de famille ont préservé leur trace fugace de l’oubli. Ou bien, pour d’autres, ils sont inspirés de peintures conservées dans les musées de Lorraine, qui avaient retenu mon regard.
Bonne visite–



au centre : d’après Portrait de Florentine de Fulaine, religieuse (XVI-XVIIe siècle)- Musée de la Cour d’or, Metz.
à droite : d’après Portrait de jeune fille (première moitié du XVIIe siècle). Attribution incertaine (Matthieu Le Nain ?) – Musée Georges de la Tour, Vic-sur-Seille.


Trois variations inspirées de la peinture Portraits de Nicolas et Madeleine Fournier (1625) – Musée lorrain, Nancy.
Jean-Charles Taillandier – Encres sur papier oriental, avec collages, format 60 x 22 cm.
< GALERIE >
Jean-Charles Taillandier – Encres sur papier oriental, avec collages, format 85 x 55 cm.













